PARADE

David Elliott

PARADE

Peinture
12 octobre au 16 novembre 2013
Vernissage : Samedi 12 octobre 2013, 16h - 18h











Des bouddhas, des banquiers, des diseuses de bonne aventure et un jeune révolutionnaire.  Des chats, des crapauds, des mouches et plein d’oiseaux. Des machines à écrire, des horloges, des ampoules électriques qui pendent, des sacoches, des dentiers, des gratte-ciel et des volcans. Carré rouge, carré blanc, fleur de lys, drapeau arc-en-ciel. Ces derniers complots de personnages et d’objets découpés de David Elliott combinent le fantasmagorique avec le politique, comme un opéra de quat’ sous loufoque.

Des bouddhas, des banquiers, des diseuses de bonne aventure et un jeune révolutionnaire.  Des chats, des crapauds, des mouches et plein d’oiseaux. Des machines à écrire, des horloges, des ampoules électriques qui pendent, des sacoches, des dentiers, des gratte-ciel et des volcans. Carré rouge, carré blanc, fleur de lys, drapeau arc-en-ciel. Ces derniers complots de personnages et d’objets découpés de David Elliott combinent le fantasmagorique avec le politique, comme un opéra de quat’ sous loufoque.

Depuis trente ans, Elliott emploie le collage comme point de départ de ses tableaux. Récemment, ces collages sont devenus des maquettes théâtrales tridimensionnelles qui servent de modèles à l’artiste.

Le buste d’atelier classique — parfois réaliste, mais plus souvent sous forme de mannequin ou de tête phrénologique — domine cette exposition. Ce motif rappelle les natures mortes de Picasso et de Beckmann, les figures inflexibles de De Chirico et les têtes sans corps de Philip Guston.

 L’exposition est dédiée à Philip Guston pour commémorer sa naissance il y a cent ans, ici à Montréal.

Communiqué