Real Men Don't Look at Explosions

Sébastien Worsnip

Real Men Don't Look at Explosions

8 juin au 16 juillet 2016
Vernissage : Mercredi 8 juin 2016
De 16h à 18h
Lovers leap
2015
Acrylique sur toile
142 x 112 cm / 55.9 x 44.1 in
The Island
2015
Acrylique sur toile
112 x 157 cm / 44.1 x 61.8 in
Edge of tomorrow
2015
Acrylique sur toile
112 x 142 cm / 44.1 x 55.9 in
Point break
2016
Acrylique sur toile
158 x 122 / 62.2 x 48.0 in
Vantage point
2016
Acrylique sur toile
152 x 183 cm / 59.8 x 72.0 in
Skyfall
2016
Acrylique sur toile
152 x 198 cm / 59.8 x 78.0 in
Piège de crystal
2016
Acrylique sur toile
131 x 162 cm / 51.6 x 63.8 in

La série de peintures qui compose l’exposition Real Men Don’t Look at Explosions de Sébastien Worsnip se focalise sur la notion même d’explosion, fixant l’instant où tout est bousculé et restructuré pour permettre l’observation du changement.

La série de peintures qui compose l’exposition Real Men Don’t Look at Explosions de Sébastien Worsnip se focalise sur la notion même d’explosion, fixant l’instant où tout est bousculé et restructuré pour permettre l’observation du changement.

Les peintures de l’artiste évoquent un paradoxe : celui de représenter la violence soudaine de l’explosion grâce à une technique lente et maîtrisée, faisant de celle-ci la source de la transformation. A travers cette notion de transition, appuyée par les titres des œuvres qui renvoient à l’univers du film d’action hollywoodien dans lequel les protagonistes n’assument jamais la responsabilité des dégâts occasionnés, Sébastien Worsnip ouvre une réflexion sur la destruction comme mouvement vital.

Les œuvres de l’artiste naissent de l’accumulation de couches, souvent appliquées au pochoir. Chaque couche entre en interaction avec la suivante, révélant ainsi les traces laissées par les transformations de la matière.

Le travail de Sebastien Worsnip évoque la notion d’expérience du lieu : ses œuvres représentent des espaces virtuels, témoins de la tension qui habite la toile et qui fige le mouvement de création entre déconstruction et reconstruction. Les structures géométriques aléatoires qui en résultent suggèrent l’existence de trajectoires à la fois mobiles et fixées dans le moment présent, où le passé n’est plus et où le futur n’existe pas encore.

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