PARADE

David Elliott

PARADE

Peinture
12 octobre au 16 novembre 2013
Vernissage : Samedi 12 octobre 2013, 16h - 18h
Poil de carotte
2013
Huile et acrylique sur toile
173 x 254 cm / 68 x 100 in
La Chambre enchantée
2012
Huile et acrylique sur toile
173 x 145 cm / 68 x 57 in

Valise
2011
Huile et acrylique sur toile
152 x 137 cm / 60 x 54 in
Perchoir
2012
Huile et acrylique sur toile
113 x 86 cm / 44 x 34 in
Choeur
2011-2012
Huile et acrylique sur toile
152 x 137 cm / 60 x 54 in
Peinture pour Claude
2012
Huile et acrylique sur toile
102 x 91 cm / 40 x 36 in
Oracle
2013
Huile et acrylique sur toile
173 x 145 cm / 68 x 57 in
Couple jaune
2009
Huile et acrylique sur toile
127 x 122 cm / 50 x 48 in
Musée de cire
2012-2013
Huile et acrylique sur toile
173 x 203 cm / 68 x 80 in
Phare
2013
Huile et acrylique sur toile
91 x 71 cm / 36 x 28 in
Parade
2013
Huile et acrylique sur toile
173 x 145 cm / 68 x 57 in
Le philosophe
2012
Huile et acrylique sur toile
152 x 137 cm / 60 x 54 in
2 Buddhas
2013
Huile et acrylique sur toile
173 x 145 cm / 68 x 57 in

Des bouddhas, des banquiers, des diseuses de bonne aventure et un jeune révolutionnaire.  Des chats, des crapauds, des mouches et plein d’oiseaux. Des machines à écrire, des horloges, des ampoules électriques qui pendent, des sacoches, des dentiers, des gratte-ciel et des volcans. Carré rouge, carré blanc, fleur de lys, drapeau arc-en-ciel. Ces derniers complots de personnages et d’objets découpés de David Elliott combinent le fantasmagorique avec le politique, comme un opéra de quat’ sous loufoque.

Des bouddhas, des banquiers, des diseuses de bonne aventure et un jeune révolutionnaire.  Des chats, des crapauds, des mouches et plein d’oiseaux. Des machines à écrire, des horloges, des ampoules électriques qui pendent, des sacoches, des dentiers, des gratte-ciel et des volcans. Carré rouge, carré blanc, fleur de lys, drapeau arc-en-ciel. Ces derniers complots de personnages et d’objets découpés de David Elliott combinent le fantasmagorique avec le politique, comme un opéra de quat’ sous loufoque.

Depuis trente ans, Elliott emploie le collage comme point de départ de ses tableaux. Récemment, ces collages sont devenus des maquettes théâtrales tridimensionnelles qui servent de modèles à l’artiste.

Le buste d’atelier classique — parfois réaliste, mais plus souvent sous forme de mannequin ou de tête phrénologique — domine cette exposition. Ce motif rappelle les natures mortes de Picasso et de Beckmann, les figures inflexibles de De Chirico et les têtes sans corps de Philip Guston.

 L’exposition est dédiée à Philip Guston pour commémorer sa naissance il y a cent ans, ici à Montréal.

Communiqué